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Connexiontout est illuminé — suheil
suheil naciri
nos âmes se parlaient à deux mille ans, dans une langue que personne ne comprend
informations générales ;
Nom naciri
Prénom suheil
Âge 27 ans
Titre le rat de bibliothèque
Genre homme
Pronoms il/lui
Métier sage de l'aqademei, spécialisé en civilisations anciennes
Groupe aqademei
Statut marital veuf
Origines salsabile & reshaandhee
Alignement neutral good
Avatar arjuna, fates
pouvoirs & armes ;
Espèce humain
Pouvoirs ce n'est qu'un humain, il ne puise aucun pouvoir si ce n'est dans ce sabre qu'on lui a imposé.
Armes un sabre magique, il semblerait qu'une âme désespérée ait décidé de s'y loger et ne jamais en sortir. il lui arrive cependant de sortir le bout de son nez lorsqu'il s'agit de protéger son propriétaire.
caractère ;
impersonel — sec aux premiers abords — direct — peu sociable — réservé — bourreau de travail — curieux — lâche — parfois un peu sarcastique — amoureux de la littérature — amoureux tout court — friand de nouvelles connaissances — un peu maladroit — solitaire qui se surprend parfois à déplorer la solitude — rêveur — empathique — romantique — sensible
C’est plus facile de fuir en se donnant l’impression qu’on ne fuit pas vraiment. À la place de courir sans se retourner piteusement on s’enterre tout simplement sous le travail, on se donne tout un tas d’excuses pour ne pas affronter la réalité et on se donne bonne conscience parce qu’au final “ce travail, il faut bien que quelqu’un le fasse”. Toujours avoir l’esprit occupé, ça, Suheil se le répète inlassablement, parce que quand il croule sous tout ce qu’il s’est donné à faire, il n’y a personne pour penser. Le soleil, c’est les autres. C’est peut-être triste à dire mais c’est dans le monde qu’il puise son bonheur. Incapable de réellement se créer le sien, Suheil baigne silencieusement dans la lumière des sourires qu’on se risque parfois à lui adresser, de ces brefs bouts de vie dont il s’aperçoit être le témoin. Il fera tout ce qu’il peut, Suheil, pour que votre étincelle puisse continuer de briller, pitié que votre lumière ne faiblisse jamais. Suheil voit les autres comme des histoires que le temps raconte, dont les trames s’entremêlent, qu’il se surprend parfois honteusement à apprécier découvrir. De son côté, il pense simplement que son histoire ne vaut pas la peine d’être écoutée.
C’est plus facile de fuir en se donnant l’impression qu’on ne fuit pas vraiment. À la place de courir sans se retourner piteusement on s’enterre tout simplement sous le travail, on se donne tout un tas d’excuses pour ne pas affronter la réalité et on se donne bonne conscience parce qu’au final “ce travail, il faut bien que quelqu’un le fasse”. Toujours avoir l’esprit occupé, ça, Suheil se le répète inlassablement, parce que quand il croule sous tout ce qu’il s’est donné à faire, il n’y a personne pour penser. Le soleil, c’est les autres. C’est peut-être triste à dire mais c’est dans le monde qu’il puise son bonheur. Incapable de réellement se créer le sien, Suheil baigne silencieusement dans la lumière des sourires qu’on se risque parfois à lui adresser, de ces brefs bouts de vie dont il s’aperçoit être le témoin. Il fera tout ce qu’il peut, Suheil, pour que votre étincelle puisse continuer de briller, pitié que votre lumière ne faiblisse jamais. Suheil voit les autres comme des histoires que le temps raconte, dont les trames s’entremêlent, qu’il se surprend parfois honteusement à apprécier découvrir. De son côté, il pense simplement que son histoire ne vaut pas la peine d’être écoutée.
facts ;
— rarement sans un livre à la main ;
— pourquoi personne ne l’a prévenu que passé 23 ans son corps lui donnerait l’impression d’en avoir 60 ;
— les rumeurs racontent qu’il possède un regard à vous glacer le sang ;
— passe le plus clair de son temps à la bibliothèque de l’aqademei, la tête dans un bouquin ;
— c’est à se demander s’il n’y vivrait pas ;
— très bonne mémoire (surtout quand il s’agit de se souvenir de moments gênants à deux heures du matin) ;
— s’enterre sous le travail
— ne parle jamais de lui si ce n’est à travers son amour pour les ouvrages ;
— possède un chat répondant au doux nom de “chat” ;
— pratique le crochet dans son temps libre (c’est-à-dire quand il n’est pas à la bibliothèque) ;
— crochète des petits bonnets pour chat
— écrit parfois lorsqu’il lui en prend l’envie mais trop timide à l’idée de les montrer ;
— des histoire plein la tête, une imagination si débordante qu’il se sent parfois consumé par ses pensées ; — s’imagine de nouvelles vies et mille et un scénario avant de s’endormir ;
— fuit les événements sociaux du mieux qu’il peut ;
— déplace les escargots qui se trouvent dangereusement sur la route après un jour de pluie ;
— fait sécher des fleurs dans de gros livres et oublie ensuite à quelle page est-ce qu’il les a mises :
— adore les plantes mais incapable de les garder en vie, à son grand désarroi ;
— il y en a cependant une qui lui survit, reçue en cadeau, il ne perd pas espoir (sauf qu’elle est fausse, que ça fait plus d’un an qu’il l’arrose et qu’il ne s’en est toujours pas rendu compte) ;
— a des tonnes de listes de choses à faire, abandonnées, il dit qu’il a pas le temps ;
— une cicatrice sur la poitrine, qu’il garde bien cachée ;
— pourquoi personne ne l’a prévenu que passé 23 ans son corps lui donnerait l’impression d’en avoir 60 ;
— les rumeurs racontent qu’il possède un regard à vous glacer le sang ;
— passe le plus clair de son temps à la bibliothèque de l’aqademei, la tête dans un bouquin ;
— c’est à se demander s’il n’y vivrait pas ;
— très bonne mémoire (surtout quand il s’agit de se souvenir de moments gênants à deux heures du matin) ;
— s’enterre sous le travail
— ne parle jamais de lui si ce n’est à travers son amour pour les ouvrages ;
— possède un chat répondant au doux nom de “chat” ;
— pratique le crochet dans son temps libre (c’est-à-dire quand il n’est pas à la bibliothèque) ;
— crochète des petits bonnets pour chat
— écrit parfois lorsqu’il lui en prend l’envie mais trop timide à l’idée de les montrer ;
— des histoire plein la tête, une imagination si débordante qu’il se sent parfois consumé par ses pensées ; — s’imagine de nouvelles vies et mille et un scénario avant de s’endormir ;
— fuit les événements sociaux du mieux qu’il peut ;
— déplace les escargots qui se trouvent dangereusement sur la route après un jour de pluie ;
— fait sécher des fleurs dans de gros livres et oublie ensuite à quelle page est-ce qu’il les a mises :
— adore les plantes mais incapable de les garder en vie, à son grand désarroi ;
— il y en a cependant une qui lui survit, reçue en cadeau, il ne perd pas espoir (sauf qu’elle est fausse, que ça fait plus d’un an qu’il l’arrose et qu’il ne s’en est toujours pas rendu compte) ;
— a des tonnes de listes de choses à faire, abandonnées, il dit qu’il a pas le temps ;
— une cicatrice sur la poitrine, qu’il garde bien cachée ;
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uc
upside (elle/elle) • 23
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